Les corps qui ont une structure cristalline sont formés par les regroupements d'éléments simples (appelés « champs de Weiss ») formés à leur tour par des molécules unies par des forces d'attractions « ioniques ».

 
Ces corps cristallins possèdent une orientation déterminée de leurs molécules et par conséquent de leurs atomes, très stable et par conséquent avec une quantité d'énergie minime. Le résultat est une forme et un volume très définit, selon les différents systèmes de cristallisation.
 
Il faut tenir compte du fait que même si cette énergie est petite, il existe toujours des champs électriques entre ses champs réticulaires.
 
Les champs électriques sont régis par la Loi de Coulomb, qui dit fondamentalement que:
 
Les forces d'attraction ou de rejet entre deux particules, sont directement proportionnelles à leurs charges ioniques (connues comme valences en chimie).
 
• Cette force est inversement proportionnelle à la distance entre les particules (c'est pourquoi la proximité ou le rapprochement augmenteront les forces d'attraction ou de répulsion).
 
• Elle est également inversement proportionnelle à un facteur nommé « constante diélectrique du milieu » Ce facteur est très important dans notre cas, puisque notre objectif est de modifier la constante diélectrique de l'eau.
 
Autrement dit, il s'agit de créer un champ électrophysique qui modifie les caractéristiques de la molécule de l'eau.
 
Nous analyserons à présent les caractéristiques de la molécule de l'Eau:

DIPOLE DE L'EAU

  • La molécule de l'eau normale (H2O) est formée de deux atomes d'hydrogène (H) et d'un atome d'oxygène (O), unis par des liens chimiques.
  • L'union entre les atomes d'hydrogène et oxygène possède une distance et une orientation définie et constante.

Cette étude physique a été réalisée sur la base de celles menées par le Dr Carmelo Hoyos Fitto, le Dr José Ignacio Isusquiza Carro et le Dr Jesús Piernas Manzano ; et publié dans le livre intitulé « LITHIASIS RÉNALE » (ISBN 84-500-5204-1).

 

ATOME D'EAU ORDINAIRE

& = 105º

• La molécule de l'eau n'est pas symétrique et c'est justement en raison de son asymétrie qu'elle représente un dipôle (+/-) qui a un moment dipolaire permanent.

• Les dipôles ont la caractéristique que lorsqu'ils sont placés dans un champ électrique, ils s'orientent en plaçant leur charge négative vers le pole positive du champ, et le positive vers le pole négatif.

• Le résultat est qu'un dipôle ou diélectrique diminue l'attraction entre les charges de signes différents.

 

Cela a pour conséquence que ces dipôles de constante diélectrique élevée, tels que l'eau, diminuent les forces d'attraction entre les molécules qui forment les cristaux, en étant la capacité de combinaison de leurs atomes (H et O) est ce qui produit la dissolution de nombreux corps, et notamment les sels.
 
C'est-à-dire que l'eau en elle-même, possède une grande capacité pour dissoudre les cristaux, grâce à son pouvoir diélectrique élevé.
 
L'objectif du Système SLACKSTONE II®, est d'augmenter davantage cette capacité de dissolution que possède l'eau, afin de pouvoir dissoudre des sels qui contiennent des cristaux de grande cohésion et de faible solubilité.
 
Pour y parvenir, il faut augmenter le moment dipolaire, c'est-à-dire l'asymétrie de la molécule d'eau.
 
Pour cela, il convient d'intervenir sur la distance et l'emplacement des atomes H et O. Si l'on parvient à séparer l'atome O des atomes H, et à diminuer l'angle d'emplacement spécial de ceux-ci par rapport à l'autre, le moment dipolaire augmentera.
 
ATOME DÉPOLARISÉ "D'Eau Dialytique"
 

&' =< 105º

 

Si nous comparons maintenant les deux schémas précédent, nous pourront voir que:

ATOME D'EAU ORDINAIRE ATOME DEPOLARISE D'Eau Dialytique
 & = 105º  &' =< 105º

 

• L'angle &' est inférieur à l'angle &.

La distance entre les atomes de H par rapport à O : d' est supérieur à d.
 
Cette nouvelle position des atomes apporte à l'eau déjà transformée en l'Eau Dialytique:
 

• Un moment dipolaire plus important (plus d'énergie).

• Une constance diélectrique plus importante.

• Un plus grand pouvoir de diminution des forces de cohésion d'autres éléments cristallins.

• Une plus grande capacité de dissolution des minéraux.

 

Comment obtient-on cela ?

Il est nécessaire une énergie qui modifie la position des atomes qui constituent la molécule de H2O.

 
Si nous fournissons une énergie externe puissante (par exemple de l'électricité) nous prendrons le risque que les effets soient si importants qu'ils pourraient détruire la propre molécule (électrolyse.
 
Nous avons besoin d'une énergie qui modifie la molécule, mais sans la détruire, suffisamment en tout cas pour « déplacer » légèrement les atomes de H par rapport à O.
 

Cette énergie s'obtient grâce au procédé breveté du Système  SLACKSTONE II®

 

Elle se présente sous la forme d'une ampoule en verre (deux ampoules dans chaque boîte), fermée hermétiquement et qui contient des macro cristaux, d'une taille déterminée, de chlorure de sodium et chlorure de lithium, dûment préparés et traités avec un aldéhyde cinnamique avec un moment dipolaire élevé, pour faciliter la transmission énergétique à travers le verre de l'ampoule.

 
L'union de ces deux cristaux provoque l'émanation d'une énergie, dont l'intensité varie en fonction de l'emplacement des cristaux et par conséquent de leurs atomes.
 
Cette énergie que nous appelons électrostatique, se produit entre les différents cristaux, en formant de petits champs électrostatiques, dont l'énergie se transmet perpendiculairement à ses faces et facettes cristallines.
 
C'est pourquoi il est très important que ces cristaux soient d'une taille déterminée, car s'ils étaient en poudre, les champs seraient trop nombreux et de petite amplitude, et s'ils étaient plus grands, le contact serait moindre et la distance (qui fait diminuer la puissance énergétique) serait trop élevée.
 
es ampoules en verre utilisées dans le Systèm SLACKSTONE II® ne sont pas l'unique moyen de mettre en contact cette énergie avec l'eau que l'on souhaite modifier, mais il est vrai que ce moyen s'est avéré être le plus adéquat pour enfermer les cristaux de sodium et de lithium qui créent des centaines de petits champs électrostatiques qui, ajoutés les uns aux autres, génèrent un champ circulaire autour de l'ampoule. D'autre part, le verre qui s'utilise dans la fabrication des ampoules du Système SLACKSTONE II® possède des caractéristiques spéciales et laisse passer cette énergie.

 

EFFET DIÈLECTRIQUE

L'ampoule du Système SLACKSTONE II®, mise au contact direct de l'eau pendant au moins 24 heures fait que l'énergie électrostatique qu'elle produit modifie le dipôle de celle-ci, en altérant légèrement la position de ses atomes et en la chargeant à son tour d'énergie diélectrique ou dipolaire, avec la capacité de dissoudre et de désagréger d'autres corps cristallins, comme par exemple, les sels peu solubles de calcium.
 
Cette Eau Dialytique, que nous appelons ainsi en raison de son pouvoir désagrégeant, s'obtient donc par des méthodes purement physiques.
 
Cette énergie potentielle est aussi légèrement radioactive, comme nous avons pu le constater à l'aide d'un compteur Geiger-Muller, aussi bien sur l'ampoule, que sur l'Eau Dialytique traitée.
 
Nous avons également constaté en laboratoire, de manière significative, la majeure capacité de solubiliser des sels que possède l'Eau Dialytique.
 
l'Eau Dialytique préparée avec le Système SLACKSTONE II® ne voit absolument pas modifiées ses caractéristiques chimiques, mais seulement sa structure physique (la position de ses atomes).
 
Nous incluons l'étude menée en France à cet effet « Différence entre l'Eau Normale et l'Eau Dialytique avec la Technique Bioélectronique de Vincent ».
 

DIFFÉRENCE ENTRE L'EAU NORMALE ET L'EAU DIALYTIQUE AVEC LA TECHNIQUE BIOÉLECTRONIQUE DE VINCENT

La Bioélectronique est une technique développée en 1945 par Louis Claude VINCENT, ingénieur hydrologue. Elle permet de caractériser une solution, un produit ou bien un organisme vivant selon des différents paramètres : le pH, le facteur d'oxydoréduction (rH2) et la résistivité (rho). Cette technique peut donc être utilisée pour étudier la qualité des eaux destinées à la boisson.
 
Le pH mesure la concentration d'ions H+ dans la solution et représente le caractère magnétique, ainsi que la capacité énergétique du milieu. En ce qui concerne le facteur d'oxydoréduction, il mesure la concentration d'électrons et représente la capacité régulatrice du milieu. Finalement, le facteur de résistivité mesure la concentration en électrolytes.
 
Par la suite nous exposons les résultats des analyses effectués le 20 novembre 2008 sur l'eau Montcalm et sur la même eau mise en contact avec l'ampoule SLACKSTONE II® pendant 24h.
 
1. Eau Montcalm:
 
• Paramètres mesurés en laboratoire:
-potentiel: E = 247 mV/ref. AgCI
- pH = 6,07
- facteur de résistivité: p = 23 300 ohm/cm3
 
• Paramètres déduits:
- facteur de conductivité: σ = 43 µS
- Taux de résidu sec: TDS = 31 mg/L
 
->facteur d'oxydoréduction: rH2 = 27,2
 
À effets de comparaison, les chiffres annoncées sur l'étiquète de la bouteille de Montcalm sont:
ρ = 30 000 ohms
TDS = 28 mg/L
rH2 = 25,95
Cette eau est inscrite dans la liste d'eaux cataloguées comme étant « parfaites ».
 
2.- Eau Montcalm mise en contacte avec l'ampoule SLACKSTONE II® pendant 24 h:
 
• Paramètres mesurés en laboratoire:
- Ppotentiel: E = 288 mV/ref. AgCl
- pH = 5,9
- facteur de résistivité: ρ = 20 400 ohm/cm3
 
• Paramètres déduits:
- facteur de conductivité: σ = 49 µS
- Taux de résidu sec: TDS = 35 mg/L
 
-> facteur d'oxydoréduction: rH2 = 28,2
 
 
3. Analyse des résultats:
 
Si nous comparons les résultats des deux solutions, nous observons que le Système SLACKSTONE II® fait descendre le pH de la solution, c'est-à-dire, que le milieu devient plus riche en protons en augmentant ainsi sa capacité magnétique.
 
De la même manière, la résistivité es plus faible dans la solution mise en contact avec ce système, et pour autant la solution est plus riche en ions.
 
Finalement, en ce qui concerne le facteur d'oxydoréduction, il est legèrement plus élevé après avoir entré en contact avec le système SLACKSTONE II®. Non obstant, cette augmentation est très faible et peu représentative.
 
En termes de qualité de l'eau, l'on estime qu'une résistivité supérieure à 6000 ohm/cm3, qu'un pH entre 5,5 et 6,9, ainsi qu'un facteur d'oxydoréduction compris entre 24 et 28, sont les indicateurs d'une bonne qualité.
 
Il serait intéressant d'effectuer d'autres essais, principalement sur des eaux diverses, mais tout en prenant compte des résultats précédents, le système SLACKSTONE II® semble ne point altérer la bonne qualité de l'eau.
 

L.G. (demande de SODALITE, Francia.)

 
Approfondissement des données concernant le Fondement Physique
 
Ce procédé, breveté et enregistré sous le nom de SLACKSTONE II®, est basé sur la nature et les propriétés de l'état solide de la matière, et notamment sur son état cristallin.
 
Les cristaux se composent d'ensembles d'éléments simples (appelés « champs de Weiss » formés à leur tour par des molécules unies par des forces d'attraction « ioniques », des forces « cohésives » de valences secondaires (Van der Waals), etc.
 
Ces systèmes exigent une orientation de la molécule et par conséquent une distribution des atomes très stable et d'énergie minime, selon le nombre d'électrons et les « spins » correspondants de ces atomes. Le résultat est une forme volumétrique prédominante connue comme « systèmes de cristallisation », par exemple système cubique, hexagonal, monoclinique, triclinique, etc., avec des propriétés différentes selon l'inclinaison, par exemple d'un rayon lumineux, un effort, etc., réalisé par rapport aux « axes de cristallisation » du corps cristallin.
 
Donc, les forces physiques ioniques, de cohésion, etc., indiquées précédemment se considèrent comme un ensemble relativement grand mais chaque atome et chaque molécule se caractérise individuellement par sa petite taille, et si par conséquent nous « attaquons » ces molécules par un système « d'action d'immédiation » (c'est-à-dire d'action individualisée), nous pourrons parvenir à la désintégration, ou mieux encore à la désagrégation des ajouts cristallins.
 
D'autre part, dans ses ajouts cristallins, les molécules qui composent les côtés et les sommets extrêmes de ces ajouts susmentionnés se trouvent moins protégées (pour l'expliquer ainsi) et par conséquent ces parties plus externes pourront être désagrégées plus facilement de façon à obtenir ces éléments cristallins et leurs formes arrondies et réduites dans la longueur mais également le volume apparent de l'ensemble.
 
Toutes ces forces d'attraction entre les molécules d'un cristal dépendent du milieu dans lequel se trouve le cristal.
 
Les formules mathématiques ne sont pas parvenues à exprimer la valeur de ces forces (d'attraction et de cohésion) ; dans notre projet il ne suffit pas de savoir qu'elles diminuent plus le « coefficient diélectrique » du milieu (ε) est élevé.
 
Comme formule approximative pour certaines conditions physiques, nous pouvons accepter comme valeur du champ électrique d'une charge ponctuelle Q1 au point P2 distant (r12) la formule:
   
 
Et la force mécanique résultante sur une charge (ponctuelle) Q2
   
 
Si au lieu d'une charge ponctuelle, nous avions un corps polarisé de « moment dipolaire » composé de deux masses (+q) et (-q) à la distance mutuelle A, nous aurions dans la direction de l'axe de dépolarisation (cosO=1):
 
   
 
Le terme (qA) est appelé « moment dipolaire » et sa valeur dépend de la nature du corps dépolarisé (eau, glycérine, nitrobenzène, alcool éthylique, etc.) énoncés dans l'ordre décroissant.
 
Conformément à cette théorie de l'état solide et cristallin de la matière, nous pensons que (en ayant des connaissances en physique) ce prolongement du fondement du professeur Dr. José Ignacio Martín-Artajo Álvarez sera bien compris.
 
Comme second prolongement des données sur le « Fondement physique » du Système" SLACKSTONE II® pour préparer l'Eau Dialytique, et en réponse à des diverses consultations réalisées par certains professionnels du milieu médical, à partir de la 6ème édition nous avons inclus l'information supplémentaire suivante.
 
Il convient en premier lieu, d'indiquer qu'il est nécessaire de lire attentivement ce Chapitre 3, et notamment le paragraphe qui porte sur le « Fondement physique ».
 
 
1.- CONCERNANT LES COMPOSANTS DE L'AMPOULE
 
La présence de Chlorure de Sodium et Chlorure de Lithium dans les ampoules SLACKSTONE II®, est dûe principalement à la similitude de ses propriétés:
 
• Tous deux sont des métaux alcalins du Groupe I
Ils sont très réactifs et d'excellents conducteurs de l'électricité
• Ils ont beaucoup d'affinités en commun:

 

Propriétés (certaines) NA LI
État Solide Solide
Structure cristalline Cubique centrée Cubique centrée
État ionique  4, 6  4, 6
Énergie de Ionisation (kJ.mol-1) 494   519
Affinité Électronique (kJ.mol-1) +53  +60 
Électronégativité(escala Pauling) 0.93  0.98 
Enthalpie de Fusion(kJ.mol-1) 2.64  4.6 
Point de Fusion (ºC) 97.8  180.5 
Point d'ébullition (ºC) 883  1342 
Densité(kg/m3  20ºC) 971.2  534 
Rayon Atomique (pm) 191  152 
Rayon de Van der Waals  0.0 0.0 
État d'oxydation -1. +1  -1. +1 

Partagent valences dans leurs atomes
(Ils possèdent la même configuration électronique dans la dernière couche)

Na) Yd-) 8e-) 1e-  Li) 2e-) 1e-
 
Les minéraux sont préparés à l'aide d'un processus propre et exclusif de microencapsulage (un des objets des brevets de l'ampoule SLACKSTONE II®).
 
Comme anecdote nous indiquerons que les origines du Chlorure de Sodium que nous utilisons (Sel Gemme, Halite) remontent à la période du miocène (il y a près de 10-15 millions d'années). Il est connu comme « sel de miroir » en raison de sa pureté et de sa transparence.
 
D'autre part, et en raison de son moment dipolaire élevé, l'Aldéhyde Cinnamique s'utilise comme activateur dans la transmission de l'action (énergie électrostatique) des minéraux cités vers l'eau. Il se place comme un cordon qui doit unir les pôles nord et sud de l'ampoule.
 
Le Chlorure de Sodium, le Chlorure de Lithium et l'Aldéhyde Cinnamique qui entrent dans la composition de l'ampoule SLACKSTONE II® ampoule sont utilisés uniquement pour leurs propriétés physiques dans l'ensemble, et non pour leurs propriétés chimiques. Notre système est un processus purement physique.
 
Si nous considérions ces composants uniquement pour leur action chimique, nous commettrions un grave erreur, car leur usages sont divers:
 
 
Usages du Sodium

. Dans le secteur de l'alimentation, il s'utilise comme nutriment essentiel, conservateur d'aliments, condiment (sous forme de chlorure).
. Réfrigérant (échange de chaleur) dans des réacteurs nucléaires.
. Fabrication d'antidétonants en essences.
. Réducteur de l'obtention d'autres métaux.
. Détergents, blanchisseurs, fabrication de papier et textiles.
. Illuminateur public.
. Fertilisants (sous forme de nitrate).
. Dans le secteur optique et comme agent de fixation dans le secteur de la photographie.
. Il s'utilisait comme mode de paiement des légionnaires romains (salaire).

 
Usages du Lithium
 

. Composant essentiel de l'espace extracellulaire des êtres vivants.
. En médecine, comme médiation antidépressive (carbonate).
. Fabrication de graisses lubrifiantes (stéarate).
. Carburants, alliages très résistants, électrodes de batteries (anodes).
. Céramique et verres spéciaux.
. Réfrigérant.
. Absorbeur d'humidité dans les appareils de climatisation (bromure et chlorure).
. Pour gonfler les gilets de sauvetage et comme combustible des fusées (Hydrure).
. Systèmes de ventilation et de purification de l'air dans les Sous-marins4 et les navires spéciaux, pour éliminer le dioxyde de carbone (Hydroxyde).

 
Usages de l'Aldéhyde Cinnamique
 

. Élaboration de saveurs pour l'industrie alimentaire et pharmaceutique.
. Préparation de fragrances de cosmétiques et parfums.
. Comme stimulant de la fonction digestive

N.D.A.
 
Chaque gramme d'Hydroxyde de Lithium consomme 0.51 g de CO2. Le père Martín-Artajo (inventeur du systèm SLACKSTONE II® ) fut pionnier de ces inventions et breveta plusieurs systèmes et procédés qui furent importants, mais qui malheureusement ne furent pas transcendants. (Sous-marin « Almirante Mimitz »).
 
2.- CONCERNANT LE VERRE DE L'AMPOULE
 
D'une part, le verre de l'ampoule doit également réunir des caractéristiques spéciales (voir tableau) pour permettre le passage de cette énergie, sans perte ni variation, et d'autre part, le processus dépend de la réfraction de la lumière (Équations de Maxwell).
 
L'ampoule SLACKSTONE II® est hermétiquement fermée et nous pouvons considérer son ensemble comme une pile ou une batterie.
 
Par conséquent, ses composants n'entrent jamais en contact avec l'eau à traiter et l'émission d'énergie vers l'eau se produit exclusivement à travers le verre de l'ampoule.
 
Si l'ampoule se cassait accidentellement, elle ne pourrait plus servir pour le processus et devrait être remplacée par une autre. Si l'on avale par mégarde le liquide résultant, celui-ci à une saveur salée et amère très prononcée. En cas de consommation prolongée de cette solution, des troubles digestifs pourraient se produire (diarrhée).
 
Le Lithium contenu dans l'ampoule (sous forme de chlorure) ne dépasse pas les 500 mg. Nous avertissons que dans un usage médical du Lithium (sous forme de Carbonate) dans les traitements antidépresseurs, la dose quotidienne recommandée est de 600 mg.
 
 

 

 

 

 

3.- CONCERNANT LE SYSTÈME SLACKSTONE II®
 
Avant tout, il convient de tenir compte de ce concep:
 
L'eau est qualifiée de « dissolvant universel »
car il s'agit du liquide qui dissout le plus de substances.
 
Pour obtenir des molécules bipolaires, l'eau est un grand moyen dissolvant de composés ioniques, tels que les sels minéraux.
 
L'eau, dans son état normal (angle 105º), dissout les solutés hydrophiles non ionisés et ionisés ayant un poids moléculaire faible et élevé comme dissolutions parfaites et des suspensions sur la base de sa constante diélectrique, le moment dipolaire et la concentration de solutés. Lorsque ces corps cristallins sont hydrophobiques et amphypathiques, interviennent alors des forces ioniques de cohésion (Van der Waals), des forces d'attraction entre molécules ainsi que des éléments cristallins (champs de Weiss), etc.
 
L'eau couvre toutes les molécules (dans notre cas celles des calculs, grains de sable et microcristaux présents dans l'organisme, quel que soit l'endroit où ils se trouvent) en raison de sa polarité et les ponts d'hydrogènes ou unions non covalentes formées avec des molécules, parties de molécules ou ions.
 
Plus le moment dipolaire est important (énergie importante),
plus l'eau augmente sa solubilité.
 
L'ampoule SLACKSTONE II®soumet l'eau normale à la radiation électronique des sels alcalins, légèrement actifs, et pour une période de 24 heures (la distance maximum entre les molécules de l'eau se produit en 24 heures, mais également la plus grande augmentation de l'ensemble des pivotements, spins). Cela se produit par action physique, une modification de la disposition moléculaire de l'eau qui donne lieu à l'Eau Dialytique.
 
En ce qui concerne l'eau normale, l'Eau Dialytique possède un plus grand moment dipolaire (énergie plus importante), plus de constance diélectrique du milieu, plus de pouvoir pour diminuer les forces de cohésion des éléments cristallins et plus de capacité pour dissoudre les sels minéraux.
 
Une fois incorporée dans l'organisme et grâce à une action d'immédiation, l'Eau Dialytique, affaiblit de forme progressive et accumulative les liens ioniques des agglomérés cristallins, formés (comme nous l'avons indiqué précédemment) par des forces ioniques de cohésion (Van der Waals), des forces d'attraction entre les molécules, et des éléments cristallins (champs de Weiss), etc.
 
Cette action désagrège la couche moléculaire de ces agglomérés, et contribue à détacher les parties les plus vulnérables, tels que les pics et les arrêtes. Lorsque les agglomérés sont de taille importante, des fragmentations progressives ont lieu.
 
Notre SLACKSTONE II® (cette énergie supérieure émise par l'ampoule) se base sur les électropaires d'interphase (dans notre cas cristal-cristal). Ces électropaires dépendent des mouvements des électrons de l'un ou l'autre métal alcalin, avec ses alternances de rapprochement et d'éloignement des charges électriques et de ses spins respectifss.
 
L'émission d'énergie de l'ampoule SLACKSTONE II® peut se calculer grâce à plusieurs méthodes, mais sans doute la plus spectaculaire est celle qui figure dans le « Rapport sur les photographies Kirlian ». Nous ne sommes pas les auteurs de cette étude.
 
 
4.- CONCERNANT L'ÉNERGIE DE L'AMPOULE SLACKSTONE II®
 
L'énergie électrostatique de l'ampoule SLACKSTONE II® ne se décharge qu'en présence de l'eau et est suffisante pour préparer 40 verres d'Eau Dialytique. Lorsque le temps s'est écoulé, il faut remplacer l'ampoule par une autre.
 
L'énergie qui se transmet à l'eau est transitoire et dure le temps que le champ chargé (l'ampoule) se maintient suffisamment proche de l'eau à traiter. C'est pour cette raison qu'il faut ingérer l'Eau Dialytique immédiatement après l'avoir préparé (Cf. prospectus), puisque le processus dure 24 heures environ, soit un temps suffisant pour modifier toutes les molécules de la masse d'eau recommandée (250 cm3).
 
C'est pour cette raison également que nous ne pouvons pas conditionner l'Eau Dialytique préparée, comme on nous l'a si souvent suggéré.
 
Lorsque l'on retire la source d'énergie de l'eau (l'ampoule SLACKSTONE II®) la position moléculaire que nous avons modifié reprend sa position initiale (l'angle de 105º), mais cela ne se produit pas de forme instantanée.
L'Eau Dialytique ingérée se métabolise dans l'organisme en 30-45 minutes, soit un temps suffisant pour que ses molécules modifiées ne se transforment pas une nouvelle fois en eau normale.
 
La masse de l'ampoule est directement liée à la masse de l'eau à traiter, et elle est également proportionnelle à cette dernière.
 
Le seul objectif de l'ampoule SLACKSTONE II® est de servir de moyen pour transformer l'eau normale en Eau Dialytique.
 
L'Eau Dialytique est celle qui possède des propriétés pour éliminer et/ou empêcher la formation de corps cristallins dans l'organisme (tout type de calculs, grains de sable, microcristaux, etc., quel que soit l'endroit du corps où ils se trouvent).
 
Le Système SLACKSTONE II® pour préparer l'Eau Dialytique est vendu (depuis 1996) en boîtes de 2 ampoules (pour 40-80 jours de traitement) et est présent dans plusieurs pays.
 

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